Charme et minimalisme à deux. "Sépia en harmonie" Juin 2006
Marion vient de Manosque, Florent, d'Angoulême. Ils forment un couple duettiste plutôt qu' un duo. Les chansons harmonisées à deux voix de leur 1er album rappellent Lilicub. Ces airs semblent avoir été composés dans une chambre de bonne avec une guitare, un mélodica, quelques pianos, contrebasse, accordéons et harmonica, mais jamais tout en même temps. La légère mélancolie qui s'en dégage (le Train express de midi) pourrait accompagner un Truffaut période l'Amour en fuite, avec ces envies de rompre et toutes les solitudes qui vont avec les vies réglées comme du papier à musique. Pour contrebalancer, des rythmiques de piano sautillent, comme sur la Mémoire neuve de Dominique A, ou sur les instrumentaux de Yann Tiersen. Ils sont d'une école minimaliste qui ne manque pas de charme." Ludovic PERRIN |
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Octobre/Novembre 2006 Ils sont deux, Marion et Florent. De leur rencontre accouchera donc cet album plein d'images et de poésie. Vous les avez peut être déjà aperçu sur la très belle compile de la RATP qui donnait sa chance aux indispensable artistes du sous-sol. Ces deux amoureux de la photo réalisent des chansons comme on prend un cliché, avec une formidable recherche d'atmosphère, d'émotion, de douceur et d'impact à la recherche du sublime. Il existe une véritable alchimie entre ces deux artistes, les mots et la note, entre la guitare, l' accordéon, le piano, le violon et les percus. Quand tout s'accorde aussi limpidement, on ne peut qu'accrocher et vouloir au plus vite rouvrir leur album...photos. |
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Février 2007 Ce duo parisien a forgé son expression dans l' acoustique pure et dure. Multi-instrumentistes, introduisant guitare, piano, accordéon diatonique, percussions, harmonica, violons, ce sont des arrangements léchés au service de chansons sémillantes ou planantes. |

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Le Parisien Un groupe à suivre. Ceux qui les ont vus sur scène vous le diront: leurs chansons transmettent une magie on ne peut plus attachante et agréable. On louera la qualité des textes, des chants: masculins (Florent) et féminin (Marion) tres en harmonie, des contre-chants tres reussis, et des subtiles mélodies qui emballent le tout avec style, un tube au moins : "Vis à Vies". le 12 /11/ 2004 |
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Radio: Radio Aligre Ce duo là vaut le détour ! C'est notre "coup de coeur", musique riche et mots justes. A ne pas manquer. |
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Daniel Galmier Scénariste, réalisateur à propos du 1er album Sur la cheminée du salon, prenez une de ces photographies aux teintes passées et tendrement nostalgiques… D’un geste malencontreux, laissez la vous échapper des mains... L’objet se brise alors en treize morceaux, La magie est au rendez-vous, les images vieillottes ont laissé la place à treize éclats de mélodies bien d’aujourd’hui, treize petits morceaux de vie aux contours brillants et vifs, parfois tranchants parfois plus doux, mais toujours parfaitement ciselés. Ruisselant d’une chanson à l’autre, les deux voix, celles de Florent et Marion, sillonnent l’azure jusqu’à l’Èclat de lune final. |
REALISATEUR |
chronique du 1er album de Sépia par Juro 22/06/2006 : Une ambiance sur laquelle on pourrait dépoussiérer un grenier abandonné pour retrouver de petites merveilles oubliées, la redécouverte d'une musique douce, sobre, aux accents simples et à l'allure légère. Sépia déclame des poèmes, des textes de qualité interprétés en duo avec retenue, conférant un côté observateur détonnant à des histoires nostalgiques ou actuels... qualité certainement obtenu à leur début sur la scène la plus populaire qui soit : les couloirs du métro parisien. Derrière des titres courts aux sons émerveillés et merveilleux, ressuscitant tout un panel d'instruments rangés sortis de derrière les fagots. Avec un album éponyme, Florent et Marion nous emmènent dans leur monde fait de dualité siamoise. Etrange, sensuel et poétique. |
INTERNET |
chronique du 1er album de Sépia par Arbobo 05/2006 : A paris on peut les entendre régulièrement, ils ont leurs habitudes dans quelques salles, et un public fidèle toujours charmé et prêt à répondre à leur jeu de scène toujours meilleur, toujours plus connivent et plein. On pourrait appeler ça de la chanson française, parce que les textes ciselés, poétiques, nous emmènent dans leur univers rêveur, parfois déchirant ("la noyade", qui vous broie les tripes) ou espiègle ("nuisance"). Par l'originalité, l'unité et la force de leur monde, on peut aussi penser à Yann Tiersen, et pourtant on est si loin. Des années que ça dure. 6 ou 7 ans déjà que je jouis de leur musique. Sépia sort son premier album. Il s'appelle Sépia. Sortie le 6 juin. Une photo sur fond blanc, des musiciens pour donner de l'ampleur à leur sens de l'orchestration. Allez-y. Allez les voir. Allez l'acheter. Faites vous plaisir. C'est comme ça qu'un groupe nait. En artiste. Dans la durée, la persvérance, scène après scène, la foi chevillée au corps, les années qui passent et le public en amour avec eux comme cette jeune femme ce samedi 29 avril au Zanzibar, qui fondait pour eux et leur faisait savoir goulument. http://arbobo.over-blog.com/article-2653650.html |
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